Description
Été 1944. Un petit village du Jura. Derrière ses volets clos, Ferdinand Bringuet, mécanicien retraité des chemins de fer, observe la débâcle des Allemands. Est-ce la fin de la guerre ?
Comme Le Soleil des morts,
La Retraite aux flambeaux est un roman hanté par la violence en même temps qu’habité par l’amour. Impitoyable réquisitoire contre la guerre, cette oeuvre grave est une magnifique réflexion sur l’âme humaine, le sens de la justice et de la culpabilité. Aucun combat n’est équitable, il n’y a ni vainqueur ni vaincu, semble nous dire Bernard Clavel. Seulement des hommes qui meurent.